lundi 19 novembre 2018

La "Der des Der"


2018 est, comme vous le savez, l’année du centenaire de l‘armistice de la guerre de 14/18.
Les médias et tous autres supports, nous abreuvent de reportages filmés ou photographiés de cette époque. Parfois certains sont colorisés et apportent une note plus touchante encore….
Ce formidable travail de mémoire rend exceptionnel notre rapport à toutes ces personnes sacrifiées. Ici pas de nationalité, seulement des hommes et des femmes qui ont souffert.
Aucune famille n’a été épargnée. Nous avons tous un parent mort, disparu, blessé, etc… Nous sommes imprégnés de cette période, de cette boucherie.
Grâce à ce travail de mémoire, vous avez permis à beaucoup de partir dans la lumière, de leur permettre de sortir de ce bourbier nauséabond. Ces âmes étaient coincées dans des tranchées, au fond des trous d’obus, dans les forêts et autres lieux. Par cette mémoire collective et profonde, vous leur avez permis d’être reconnus et parfois nommés. Une seconde chance pour eux, afin d’être libérés. Nous, les vivants, leur avons accordé cette PAIX qui leur faisait tant défaut. Ces âmes se sont sacrifiées deux fois, en n’acceptant pas de quitter ces lieux. Certains restent car leurs frères d’armes étaient là, couchés à terre sans vie. D’autres ne sachant pas que la guerre est terminée et vivant inlassablement les mêmes instants. Des hommes ne supportant pas d’avoir tué et d’avoir vécu ainsi. Toutes ces souffrances indéfinissables, les ont condamnés à une double peine.
Par notre mémoire collective et l’amour qui émanaient de ces souvenirs, vous avez éveillé ces morts afin de les libérer d’un tourment vieux de cent ans. Quel formidable élan d’amour venant des quatre coins du monde pour élever ces âmes vers d’autres horizons. Quel bonheur transmis. Et cela ne se termine pas à la date de commémoration du 11 novembre 2018. OH NON. Vous célébrez cette énergie d’amour et de libération sans le savoir.
Toutes ces âmes n’ont pas fait le choix de « rester » après leur décès. Une très grande partie a quitté ses lieux pour rejoindre d’autres sphères. Heureusement……

N’oublions pas ces animaux » nécessaires à l’effort de guerre », chevaux, chiens, bœufs, etc… Eux aussi ont payé un lourd tribu.

Mon grand-père maternel, mon pépé, est revenu trépané de cette guerre. Toute sa vie, il a souffert de maux de tête abominables et de crises d’épilepsie. Son décès est la suite logique de cet éclat d’obus figé dans son crâne. Contrairement à d’autres, il est revenu de cet enfer. Il épousera ma grand-mère, aura treize enfants, et plusieurs petits-enfants. Il sera cantonnier. Il traversera la guerre de 39/45. Il nous quittera à l’âge de soixante quatorze ans, chez lui dans son lit.
D’autres membres de ma famille, paternelle ou maternelle, ont vécu cette guerre, Certains sont revenus, d’autres pas…



un oncle mort pour la France


                                                         





mardi 28 août 2018

Informations Site et Interview RCF Poitou

Avec mon amie Karine, nous avons travaillé à la création de mon site. Ce ne fût pas simple de visualiser celui-ci. Réflexion et non précipitation était de rigueur.. Et je dois reconnaître qu'avoir Karine en binôme sur ce projet m'a énormément apporté.

Je l'a remercie de sa patience et de comprendre mes attentes. Donc notre bébé est né et il ne demande qu'à vivre et prendre pleinement sa place. C'est pour cela que je partage le lien du site ici :

Site Nath dans les étoiles
                       
Ce site est en complément de mon blog. Vous trouverez des infos autres que mes articles.


Au mois d'avril 2018, Michel Cordeboeuf m'a gentiment invité à son émission littéraire sur RCF Poitou. L'article concernant ma "Grand-mère"l avait particulièrement ému. D'ailleurs Michel lira un passage lors de l'interview. Il met en avant ma place au comité de lecture d'une toute nouvelle maison d'édition : Editions Nouvelle Bibliothèque.


Afin de profiter pleinement de cet enregistrement, cliquez sur le lien et vous entendrez ma voix.

Podcast émission littéraire RCF Poitou


A bientôt.


                 







mercredi 30 mai 2018

François


Récemment, j’ai pu voir au cinéma, un très beau film d’animation. Celui-ci nous emmène dans un village mexicain, auprès de Miguel et de sa famille. Ce n’est pas le style de films dont nous abreuvent les studios. Le thème abordé est la mort. Ici, pas de fantômes et autres histoires à nous faire dresser les cheveux sur la tête. Nous traversons avec Miguel le « Dia de los Muertos » (le jour des morts). Les mexicains fêtent durant deux jours, le 1er et 2 novembre, leurs morts. C’est l’occasion de se retrouver en famille et d’honorer ceux qui sont partis rejoindre leurs ancêtres. Ils sont joyeux, dansent et chantent dans les cimetières. Ils mangent sur les tombes et font des offrandes aux Morts. Pour les mexicains, la Mort n’est pas taboue.  Ils parlent d’ELLE avec plus de facilité.

Cela peut nous paraître totalement irréel et irrespectueux au vu de notre culture. Certains seront même choqués. Pourtant la Mort fait partie intégrante de la Vie. Bien sûr, je ne suis pas prête à danser et manger dans un cimetière...

Quel est l’intérêt de vous raconter cela ? Tout simplement pour vous parler de François.

François fait parti de ces défunts que l’on ne peut pas oublier.  Je me rappelle la tristesse qui l’enveloppait. Gentillesse et discrétion sont les autres émotions ressenties lors de notre échange. Je ne saurais vous donner des détails de son anatomie. Sa mélancolie effaçait tout le reste.
François m’explique avoir vécu difficilement et peu entouré. Il garde un goût amer de sa vie terrestre. François est décédé depuis très longtemps. On l’a oublié. Personne n’a de pensées agréables pour lui. Il ne veut pas revivre dans sa mort, ce qui a fait sa vie, l’isolement.

Il me demande si je peux allumer une bougie à son attention. Une petite lumière en son cœur. J’accède immédiatement à sa requête. Rien de compliqué en soi d’avoir une Intention accompagnée d’un peu de chaleur. Depuis je pense à François souvent. Cette âme m’a touchée au plus profond de mon être.

Bien sûr, tous ne sont pas oubliés. François est un peu responsable de cela. Comment a-t-il traversé sa vie sur terre ? S’est-il donné les moyens de vivre pleinement ? Cela lui appartient.

Parfois, j’allume des bougies. Je les offre à tous ceux qui en ont besoin. Il n’est pas utile de nommer ces âmes.  Simplement adresser une intention d’amour. Vous verrez cela vous fera un bien fou. C’est leur façon de nous remercier.

En rendant hommage à François, au travers de ce texte, je lui permets d’être un peu avec vous. Et je vous en remercie.


A bientôt…

  
Petit clin d’œil au film.

                                                                 



mardi 24 avril 2018

Interview radio RCF Poitou


Ce lundi 23 avril 2018 restera une journée très particulière. Enfin, j’ose me dévoiler totalement et accepter ma médiumnité en public. Je viens de franchir un pas de géant et quel pas pour moi……

Michel Cordeboeuf , animateur d’un magazine littéraire sur RCF POITOU, m’a proposé une interview. Certes, mon blog n’est pas considéré comme peut l’être un livre, mais Michel a été très touché par mes textes.

Le début de l’interview me positionne comme lectrice. Il est vrai que je lis énormément. C’est une de mes passions. Une journée sans lecture, impossible de l’envisager. Et puis Michel glisse doucement vers mon blog. Je pensais sincèrement que je ne serais pas capable de m’exprimer devant un micro. Le déroulé des questions m’a simplifié la tâche et les réponses venaient d’elles-mêmes. Comme si j’étais guidée. « Ne t’inquiète pas. Les mots vont venir à toi ». Cet exercice est apparu comme un jeu entre Michel et moi.

Je souhaite sincèrement que les auditeurs de cette émission soient interpellés face au monde de nos chers disparus. Et si mes mots ont été entendu et bien, j’en serais heureuse.

je vous invite à partager ce moment précieux sur la fréquence de RCF POITOU. (voir votre région). 

La diffusion de cette émission est proposée le lundi 30 avril à 11h30 et 19h40 ainsi que le samedi 5 mai 17h30.



Le podcast sera prochainement sur mon blog et mon site.


A bientôt.

Vous pouvez me joindre de différentes manières :

Téléphone : 07 82 30 43 21
Création d’un site en cours : www.nathdanslesetoiles.com
Et sur mon blog.




 
RCF Poitou en compagnie de Michel






samedi 31 mars 2018

Lettre à Dédé


Tout d'abord, je tiens à m'excuser auprès de toi pour ne pas être venu à tes funérailles, Lundi. Mes pensées étaient tournées vers toi, tandis que mes mains touchaient ces blocs granitiques si imposants, si majestueux, traversant le temps.
Je ne connaissais pas les Mont d'Arrée et ce fut un véritable coup de foudre! J'aime les pierres, je me sens si connecté à elles.
On s'était rencontré pour un moment familial, un jour de plein soleil, de douceur Angevine. Te souviens-tu? Je t'avais senti heureux d'être tous ensemble et j'étais heureux pour toi. Quand je pense à toi, c'est curieux, je vois un cercle.
Et il y avait ce petit bout de femme; Angèle! Quelle sacré femme ton épouse, Dédé. Elle porte si bien son nom, un ange, un archange. Ton ange. Le cercle s'est reformé autour d'elle. La boucle est bouclée.
Et puis il y a eu cette autre journée, comment dire, si particulière. J'ai eu très froid, une profonde tristesse, du mal à respirer. J'ai compris dans la soirée que l'on s'adressait à moi. Je ne savais pas que c'était toi Dédé, pas encore. 
Et puis, ma femme m'a appris ton décès le lendemain, tu étais parti, d'une embolie pulmonaire.
3 bougies ont été posées sur la table ce soir-là (sous les recommandations de ma "Maître Jedi " qui rira j'en suis sûr) et la lumière fut.
Tu peux respirer à nouveau maintenant, un nouveau souffle d'éternité t'attend.

Je te laisse Dédé avec les paroles de Serge Reggiani qui résonnaient si forts dans mes écouteurs ce jour-là;


"Combien de temps...
Combien de temps encore ?
Des années, des jours, des heures, combien ?
Je m'en fous mon amour...
Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore...
Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul...
Quand le temps s'arrêtera..
Je t'aimerai encore
Je ne sais pas où, je ne sais pas comment...
Mais je t'aimerai encore...
D'accord ? "





                                                                                      

mercredi 28 mars 2018

Ma grand-mère Marie


J’ai toujours envié ces autres qui parlent de leur grand-mère avec amour. Cette relation intense vécue entre des personnes d’une même famille. Leurs yeux pétillent à l’avance de leurs souvenirs.  Mes souvenirs à moi sont, comment dirais-je, tristes et humides. Marie, ainsi se nomme ma grand-mère, était une femme dure et peu incline aux gestes affectueux. Ses propres enfants jettent un regard amer de leur vie en sa compagnie. Maman l’a première. Pourtant j’ai partagé un bout de chemin avec ma grand-mère, mémé. J’ai adoré les vacances chez mes grands-parents, mais entourée de mes cousins-cousines, oncles et tantes. Nous dormions tous dans des petites maisons attenantes à la sienne. Mon grand-père était là, mon pépé. Que j’ai aimé cet homme. Il était son opposé. Je me souviens de nos moments ensembles, doux et heureux. Quand celui-ci est décédé, nos visites se sont espacées. J ’avais sept ans. Ma grand-mère avait ses « chouchou » dont mon frère. Pourquoi différencier ses petits-enfants ? Lorsque parfois nous abordons ce sujet, entre cousins, nous sommes encore troublés. Mais aucune rancune envers lesdits « chouchou ».

A vingt ans, j’ai éprouvé le besoin de renouer avec ma grand-mère. Beaucoup plus tard, les repas dominicaux furent des prétextes afin de lui présenter mes enfants. Ma fille aînée porte son prénom. Marie (mémé) excellait aux fourneaux. J’ai encore l’eau à la bouche des plats dégustés. Une cuisine du terroir simple et goûteuse. Pourtant mes souvenirs d’enfant sont douloureux. Les images et les paroles encore blessantes font échos à cette période.

Et puis, il y a la rumeur. Celle-ci véhicule au travers des générations sans bien-fondé mais bien présente. Ce poison gravite autour de ma grand-mère et s’accroche à elle malgré son décès en 2003. Il a amplifié ce rejet envers elle.
Marie (mémé) a essayé de communiquer à plusieurs reprises. J’ai refusé catégoriquement. Pas très chrétien de ma part. J’étais mal à l’aise de lui refuser cela. Pourtant lors d’une conférence d’un médium Victor, j’ai déposé sa photo et elle fût choisi parmi tant d’autres. Victor me décrit ma grand-mère. Celle-ci se montre dans sa cuisine avec ses plats en fonte pour cuisiner.  Puis Elle me dit :

« Toutes les vérités dites sur moi ne sont pas justes.  Je veux te parler. »

Je reste sur ma décision et refuse obstinément de lui accorder le bénéfice du doute.

Nos défunts sont très « malins » pour arriver à leurs fins et nous transmettre leur message.

Férue de généalogie, je travaille depuis peu sur ma branche maternelle avec un cousin. Dernièrement, celui-ci a obtenu des documents qui innocente totalement ma grand-mère dans une affaire très douloureuse. Ces pièces émanent du tribunal et un travail très sérieux a été effectué avant ce jugement.  Je suis bouleversée. Je me remets en question. Qui suis-je pour avoir suivi cette rumeur ? Aveuglée par mes souvenirs, je n’ai accordé que du mépris à ma grand-mère. Depuis mille questions m’assaillent. Qui est-elle ? Comment a-t-elle vécu ? Et beaucoup d’autres.

Depuis ces révélations, aucun contact. Je pense qu’elle me laisse « digérer ». Comme beaucoup, j’ai laissé cette rumeur persister. En accordant du crédit à celle-ci, mon jugement a été faussé. C’est pour cela, qu’aujourd’hui, je réhabilite ma grand-mère. Bien sûr, elle ne nous a pas transmis l’amour qu’espère tout enfant. Mais son histoire lui appartient et n’est pas la mienne.

J’aurais appris une bonne leçon, ne pas JUGER. Nous pouvons tous être « victimes » d’absurdités.

A bientôt.

arbres et ruines maison Irlande




lundi 19 février 2018

LE DEUIL





 DIMANCHE 13 FÉVRIER 2011    17h25

Cette date est ancrée au plus profond de moi. Mon papa a quitté ce monde après de terribles souffrances. Celui-ci n’est pas un inconnu pour vous puisqu’un article entier lui est dédié. Depuis, cette journée était marquée au fer rouge, plus que les autres jours du calendrier.


Mardi 13 février 2018     12h50

Tranquillement installées à table, avec deux de mes filles, nous commentons les actualités. L’une d’elles me demande l’heure de décès de son papi. Question à laquelle je réponds. Puis nous passons rapidement à un autre sujet. En soirée, je suis confortablement installée dans mon canapé. Ma fille se joint à moi et une discussion s’engage. Elle me dit être étonnée de ma réponse de midi sans avoir versé ma petite larme. Pourquoi aurais-je versé une larme ??? « Ben cela fait 7 ans que papi est décédé. »  Je lui réponds qu’elle se trompe et que nous ne sommes pas le 13 février.  C’est à ce moment-là que je comprends que mon deuil est fait. Que j’accepte la Mort de mon papa. Qu’Elle n’a plus d’emprise sur moi et que je peux être sereine face à Elle.

J’entends votre questionnement. Mais pourquoi parle-t-elle ainsi ? Nath dialogue avec son papa depuis l’Au-delà.  Je ne comprends pas pourquoi un sujet sur le deuil. Nath est médium… ????

Oui je suis médium mais avec les mêmes émotions que beaucoup. Mon papa me manque physiquement ainsi que sa voix. Ayant quitté ma région d’origine, nous avions pris l’habitude de nous téléphoner régulièrement. Ces instants étaient précieux. Alors quand tout est stoppé, il est difficile de réagir. Une sorte de torpeur nous enveloppe et la mélancolie s’installe.
Bien plus tard, j’ai assisté à la conférence d’un médium.  A la fin de celle-ci le public pouvait échanger avec lui. Je lui fais part de mon désarroi face à ce décès et du fait que j’entretenais un dialogue avec les défunts. Sa réponse fût surprenante et blessante.   Il ne comprenait pas que je fusse si affectée puisque tout est énergie. D’autant plus, de ma « faculté » à m’entretenir avec les défunts.

Et pourquoi ne devrais-je pas réagir ainsi ? Ma peine est réelle. Oui tout est énergie. Mais sommes-nous prêts à balayer le souvenir physique et oral d’une personne aimée ? Et bien moi je ne peux pas. Et c’est pour cela que comme tout un chacun, j’ai eu besoin de « faire mon deuil ». D’ailleurs, lors des prises de RDV, je demande toujours à mon interlocuteur la date de décès du défunt. Il est IMPORTANT de « digérer » cette émotion.

Aujourd’hui, je suis libérée de cette date anniversaire. Je peux avancer sereinement avec papa. Il était très difficile de « dialoguer avec lui ». Parfois je refusais nos discussions malgré ses insistances. J’envisage différemment notre relation père-fille / défunt-médium. Et ce n’est que du BONHEUR.

Je veux vous faire comprendre qu’il n’est pas aisé d’être médium. Rien n’est simple, pour moi dans tous les cas. Il faut vraiment être prêt psychologiquement. Lorsque je me sens fragilisée, je refuse toutes interventions de l’Au-delà. 
   
Ne mettez pas un médium sur un piédestal. C’est une personne comme vous. Il doit garder les pieds sur terre et surtout rester humble. Sans les défunts autour de moi, je n’aurais jamais partagé ce blog avec vous.

A bientôt.

Irlande photo personelle






mardi 23 janvier 2018

FLASH BACK 2017 – PROJETS 2018


Tout d’abord, je vous souhaite une très belle année 2018. Que celle-ci vous soit agréable. Que toutes difficultés rencontrées soient balayées et porteuses de renouveau. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, mais belle malgré tout.

Une Année 2017 mitigée remplie de temps creux et actifs.  Je me suis très peu déplacée à Nantes et ses environs. Cela fait trois ans que je vais au-devant de ma clientèle. Le temps passé sur la route, en plus des consultations, m’a épuisé.

Lors de prises de rendez-vous, j’ai proposé des consultations téléphoniques et par Skype. Et cela fonctionne.  Au risque de vous surprendre, ne pas avoir la personne physique, en face de moi, me permet de me lâcher complètement. Au préalable, j’avais le support photo du ou des défunt (s), afin de valider l’image perçue. Ensuite, j’ai transmis l’écriture obtenue aux intéressés.
Je constate que le bouche à oreille est ma meilleure publicité.  Je suis de plus en plus sollicitée. Cela m’encourage à continuer dans cette voie.

Des thérapeutes ont fait appel à mes services. Grâce à leur demande, j’exploite une partie différente de mes capacités.  Je les remercie de me donner la possibilité de me découvrir. Travailler sur un axe différent permet d’aborder d’autres couleurs de ma palette.
J’avance doucement mais rapidement dès que je laisse mes doutes de côté. Cela peut s’appliquer à tous. Faites-vous confiance.

Je ne peux évoquer 2017 sans mettre en avant Karine et Hélène. La vie nous réserve de belles surprises. A nous de savoir les accueillir.  Pour décrire mes amies, je dirais simplicité, générosité, bonheur et un cœur énorme. Vous aurez compris, je les aime. Nous nous sommes accompagnées mutuellement cette année.
Voulant développer mon activité professionnelle, je réfléchis à la création d’un site. Nous travaillons à la réalisation de ce projet. Ce sera notre bébé à toutes les trois.   
Karine compose le concept. Hélène, illustratrice de métier, travaille sur mon avatar et création d’une nouvelle carte pro. Nous discutons de mes attentes et des leurs aussi. Il est important d’avoir des avis extérieurs. Avec Karine, nous envisageons une série Vidéo.  Fous rires assurés.
2017 aura été une année particulièrement bénéfique en rencontres. Celles-ci me poussent à me mettre en avant. Les énergies qui m’enveloppent, entourage proche, défunts ou guides m’invitent à suivre mon chemin.  Il est temps.

Je n’oublie pas ma famille qui me soutient. Elle me porte au travers de mes avancées et surtout me permet de garder les pieds bien ancrés. L’INVISIBLE peut vite nous happer si on n’y prend pas garde.

A bientôt.





le chemin n'est jamais là où l'on le pense.